Le changement esperé implique votre participation

vendredi 10 mai 2019

IMPORTANCE DE LA COLLABORATION SOCIALE




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La collaboration sociale a vu le jour en réaction aux nombreux changements significatifs qui sont survenus dans l’environnement économique moderne. Les entreprises sont plus que jamais à la recherche de croissance, d’avantages concurrentiels, de réactivité, d’efficacité et d’innovation.
D'autre part, l’évolution technologique et l’expansion des réseaux sociaux ont radicalement changé la façon dont les employés et les entreprises communiquent et interagissent ensemble en interne ainsi qu’avec les clients et partenaires en externe.
Définir la “collaboration sociale” en une phrase serait restrictif et ne rendrait pas justice à cette notion. Ayant déjà abordé ses avantages dans d’autres articles, celui- là mettra l’accent sur les objectifs stratégiques de la collaboration sociale qui émergent aujourd’hui dans les entreprises.

1. Un nouvel élan à la croissance

La collaboration sociale a émergé en tant que nouvelle opportunité pour aider les entreprises à répondre aux nouveaux objectifs de croissance, à savoir : booster l’efficacité et la productivité des employés et porter la gestion des connaissances à un niveau supérieur.
Par exemple, les employés peuvent accéder très facilement à un réseau d’experts qui peuvent facilement et de façon plus ouverte partager les bonnes compétences dans les contextes appropriés à travers des canaux de collaboration internes. Chaque activité est capturée formant une nouvelle connaissance qui est stockée et organisée dans un endroit auquel tout le monde peut accéder !
Avec cette habileté à promouvoir une collaboration transversale, il sera, par exemple, très facile à un(e) commercial(e) d’inviter un financier, un expert marketing ou un consultant technique dans un espace de coopération pour commenter, suggérer des améliorations ou valider un document urgent, qu’ils soient au bureau ou ailleurs.
Au final, la productivité des employés, ainsi que le flux et la création de connaissances internes, sont en concordance avec la vision et les objectifs de croissance de l’entreprise.

2. Un moteur de l’innovation

La collaboration sociale n’est pas seulement une plateforme, c’est aussi une culture de travail. Les personnes se sentent en effet plus encouragées de partager des idées sur une plateforme et ainsi mettre en avant leur expertise et leur implication.
En permettant la création de groupes d’intérêts ou de pratiques, les experts peuvent partager et discuter des idées. Il est possible pour tous les employés d’être informés des activités commerciales départementales ou inter-départementales et ils seront alors plus susceptibles de détecter de nouvelles idées qui pourront les aider dans leurs tâches, processus, produits et services. Par la suite, ceci aidera l’entreprise à grandir et à bénéficier d’un meilleur avantage concurrentiel.
Quand une plateforme de collaboration sociale et une culture de travail sont toutes deux à disposition, les employés s’engagent et s’investissent, notamment en proposant des idées qui pourront servir l’innovation et profiter à l’ensemble de l’organisation.

3. Des coûts maîtrisés

Une communication efficace, un sentiment d’appartenance fort et la reconnaissance des talents ont un impact direct sur le roulement des employés et font partie des éléments clé des entreprises les plus performantes.
Le partage des connaissances, que nous avons abordé plus haut, peut être considéré comme un facteur de réduction des coûts de formation. En effet, quand l’information et la connaissance sont facilement accessibles et utilisables, les formations ne sont plus une nécessité et les coûts sont réduits.
Et parce-que le temps c’est de l’argent, la collaboration sociale aide aussi à réduire les frais de transport pour les travailleurs à distance, le temps passé à trier les e-mails et à assister à des réunions au bureau.

4. Un catalyseur de transformation

La collaboration sociale joue un rôle de facilitateur dans la transformation et le développement des entreprises. Elle permet d’intégrer aux opérations les retours internes et externes ainsi que les attentes des clients, et permet ainsi une agrégation plus efficace des informations pour mieux servir les marchés dans lesquels l’entreprise souhaite prospérer.
En ce qui concerne la direction, la collaboration sociale, intégrée aux processus clés de l’entreprise, donne une visibilité sur ce qui se passe et se qui se fait dans l’entreprise, et selon ce qui est observé, certains changements pourront être apportés ou considérés pour aider à la transformation escomptée par les dirigeants. Aussi, la collaboration sociale leur permet de se rapprocher de leurs employés et de mieux les connaitre. .
Comme nous pouvons le constater, chaque but stratégique peut être divisé en plusieurs objectifs ayant un rôle actif dans l’accomplissement des objectifs attendus par l’organisation. Une solution collaborative et sociale fournit une pièce centrale au digital workplace où ces objectifs peuvent être atteints, donnant la possibilité à l’entreprise de relever ses défis avec brio.

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PROTECTION DE L'ENVIRONNEMENT










L'environnement est constitué de l'ensemble de la biodiversité terrestre et marine, c'est-à-dire toutes les espèces animales et végétales ainsi que les écosystèmes dans lesquels elles évoluent. Ces ressources naturelles sont indispensables à la vie de l'espèce humaine et de la Terre. Les activités humaines dégradent l'environnement : prélèvement des ressources sans souci de leur renouvellement, déforestation, éradication des espèces animales et végétales, pollution de l'eau, des sols, de l'air… et menacent la survie de tous. Certaines ressources, comme les énergies fossiles, ne sont pas renouvelables, et sont consommées de façon massive, jusqu'à épuisement : de plus, toutes les étapes de leur exploitation et de leur consommation sont extrêmement nocives pour l'environnement. Les ressources renouvelables sont consommées sans préoccupation de leur reproduction, les habitats de la biodiversité sont détruits progressivement, les espèces animales et végétales majoritairement menacées, en voie d'extinction ou déjà éteintes, les rejets massifs de gaz à effet de serre réchauffent la planète très rapidement et de façon durable... L'état de la biodiversité et le niveau de pollution de la Terre sont très inquiétants. L'enjeu environnemental du développement durable a pour objectif de mettre en œuvre des actions au quotidien pour réduire le gaspillage, limiter les pollutions, économiser les ressources... afin de les préserver pour maintenir la vie sur Terre. La protection de l'environnement requiert une volonté politique, une implication forte des entreprises, des pouvoirs publics, de tous les citoyens, une évolution des mentalités et des changements de comportement de tous.

Source : http://www.vedura.fr/environnement/
Droits de reproduction : http://www.vedura.fr/legal/droit-reproduction-contenu (à lire impérativement avant toute reproduction de contenu)
Pour nous contacter : http://www.vedura.fr/contact
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jeudi 9 mai 2019

PROTÉGER L'ENVIRONNEMENT, C'EST PRÉSERVER LA VIE

On parle de plus en plus de protection de l'environnement. En quoi sommes-nous concernés ? Quel impact cela a-t-il sur notre quotidien ? 

Protéger l'environnement, c'est préserver la survie et l'avenir de l'humanité. En effet, l'environnement est notre source de nourriture et d'eau potable. L'air est notre source d'oxygène. Le climat permet notre survie. Et la biodiversité est un réservoir potentiel de médicaments. Préserver l'environnement est donc une question de survie.

Protéger l'environnement, c'est protéger notre source de nourriture et d'eau potable

Tout ce que nous mangeons et buvons provient de la nature. Or toute pollution finit par se retrouver un jour dans notre nourriture : dans l'eau que nous buvons ou dans ce que nous mangeons. Et ces polluants peuvent nous faire développer des maladies ou des malformations.
Nous devons donc faire en sorte que la nature produise une eau et une nourriture saines et en quantité suffisante. Pour cela, nous devons éviter de polluer les sols et les mers. Nous devons éviter de rejeter sans précaution ou répandre des produits chimiques à l'excès.
Protéger notre source de nourriture, c'est préserver la survie et donc l'avenir de l'humanité.

Protéger l'environnement, c'est préserver la qualité de l'air que nous respirons

L'air est absolument indispensable à notre survie. Nous ne pouvons pas survivre plus de quelques minutes sans respirer. L'air nous apporte l'oxygène, carburant de nos cellules.
Mais en respirant, nous n'inhalons pas que de l'oxygène. Nous absorbons également beaucoup d'autres choses. A chaque inspiration, nous inhalons les gaz et les particules qui se trouvent dans l'atmosphère. Certains de ces gaz et particules sont nocifs pour notre organisme. A chaque inspiration, nous absorbons donc un peu de poison. Respirer met alors notre santé en danger et nous rend malades. Alors que respirer devrait seulement nous maintenir en vie.
Nous devons donc veiller à ne pas polluer notre atmosphère. Nous ne devons pas y rejeter des gaz nocifs ou des particules dangereuses pour la vie.
Protéger la qualité de l'air, c'est préserver la santé et donc l'avenir de l'humanité.

Protéger l'environnement, c'est conserver le climat que nous connaissons

Nos sociétés ont des modes de vie adaptés au climat actuel. Si le climat change, nos sociétés n'y seront pas adaptées. Certaines régions subiront de graves désordres. Selon les endroits du monde, on assistera à une montée des eaux, à des sécheresses, des inondations à répétition, des tempêtes violentes, etc. Ces cataclysmes feront fuir les populations ou les décimeront. Les populations devront se déplacer ou changer de mode de vie. Des conflits éclateront pour pouvoir vivre dans les régions épargnées.
La flore et la faune évolueront avec la modification du climat. Certaines plantes ne seront plus adaptées. L'agriculture locale en sera affectée. Des parasites s'étendront dans de nouvelles régions, propageant des maladies pour l'homme, les plantes et les animaux.
Nous commençons déjà à constater que la température globale de la Terre augmente. Et cette modification est extrêmement rapide. La nature n'aura pas le temps de s'adapter. L'équilibre actuel sera bouleversé.
Nous devons donc limiter notre impact sur le climat en réduisant nos rejets de gaz à effet de serre. Car nos rejets atmosphériques accentuent l'effet de serre naturel, qui contribue à chauffer notre planète. Pour cela, il faut notamment veiller à limiter notre consommation d'énergie.
Veiller à ne pas détériorer le climat, c'est préserver l'équilibre fragile de la Terre et donc l'avenir de l'humanité.

Protéger l'environnement, c'est préserver la biodiversité dont nous avons besoin

La biodiversité, c'est la variété des espèces animales et végétales de la nature. Toutes ces espèces doivent être respectées et préservées, pour la seule raison qu'elles sont la création de DIEU, comme l'homme.
Mais toutes ces espèces sont aussi nécessaires à la survie et à l'avenir de l'homme.
Les plantes et les animaux peuvent contribuer à notre santé. Car c'est parmi les espèces sauvages, parfois encore inconnues, que l'homme a découvert ou découvrira encore des médicaments.
Ce sont aussi ces espèces sauvages qui peuvent aider notre agriculture. Elles peuvent aider à améliorer le rendement ou la résistance aux maladies de nos plantations ou de nos élevages.
La nature est une source de découvertes futures et de solutions à nos problèmes. Il serait suicidaire de détruire tout cela avant d'avoir pu en bénéficier.
Nous devons empêcher la destruction des espaces naturels. Nous devons protéger les espèces en danger.
Préserver la biodiversité, c'est sauvegarder un réservoir de solutions futures à nos problèmes. C'est préserver l'avenir de l'humanité.

Protéger l'environnement concerne chacun d'entre nous

Vous devez prendre conscience et faire prendre conscience à chacun de l'importance de protéger l'environnement. Car protéger l'environnement, c'est protéger l'humanité et permettre qu'elle survive. L'homme ne vit pas tout seul et isolé. Il vit dans un environnement dont il est totalement dépendant.
Vivre dans des villes, entouré de technologie, nous le fait souvent oublier. Mais si nous détériorons notre environnement, celui-ci nous rappellera vite notre dépendance à son égard.
Pour assurer la survie et donc l'avenir de l'humanité, il est indispensable de protéger l'environnement aujourd'hui.



                                   https://www.opc-connaissance.com/mieux_vivre/proteger_environnement.html
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GOOD DEEDS DAY



Nombreuses sont les réalisations ou encore les bonnes actions posées au sein de notre communauté. Mais combien sont réellement mises en valeur ? Certains en ont pris note et ont décidé de consacrer une journée entière aux « bonnes actions », qu’ils ont baptisée « Good Deeds Day ». Alors que cette journée est célébrée dans plus de 90 pays et réunit des milliers de jeunes, l’année 2019, marque la 2e participation d’Haïti à cette activité internationale.
En effet, parmi les 96 pays à accueillir « Good deeds Day » pour l’année 2019, Haïti en fait partie et cela fait 2 fois que le terroir haïtien prend part à l’initiative. Sur l’invitation de Caribbean Volunteer Exchange (CVX) et en partenariat avec plusieurs organisations de la région caribéenne, telles que World Merit Haïti, ACTIVEH et Initiative Lechauve (Initiative de lutte environnementale pour le changement à travers le volontariat) qui s’est mêlée à la partie cette année, la journée des bonnes actions a eu lieu en Haïti le dimanche 7 avril 2019, et s’est déroulée dans trois localités différentes : Bois Verna, Lilavois et Croix-des-bouquets.
Plusieurs activités ont garni le parterre de cette activité pour sa 2e édition : Sensibilisation sur la gestion et le tri des déchets, distribution des sachets en plastique, des séances d’information, conférence, animation ludique et aussi des séances de travaux pratiques. A noter que la journée des bonnes actions a été réalisée cette année sous le thème :  « Connecting Communities ».
Pour accomplir de bonnes actions au profit des autres et de sa planète, même une journée entière ne suffit pas, cependant, avoir déjà tout une journée entière consacrée aux bonnes actions, cest déjà pas mal !
                                                                                   DARLINE HONORE , 9 APRIL 2019

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vendredi 3 mai 2019

DE L'IMPORTANCE DU BÉNÉVOLAT




Ne pas confondre bénévolat et volontariat
Selon le Petit Robert , le bénévolat est la situation de celui ou celle qui accomplit un travail gratuitement ou sans être obligé. Tandis que le volontariat signifie l'état de l'engagé volontaire, c'est-à-dire de celui qui agit librement sans contrainte extérieure. Plus loin, le petit robert définit le volontaire comme étant une personne bénévole qui offre ses services par simple dévouement. Si le volontaire et le bénévole ont pour point commun la volonté de servir, ils se distinguent l'un de l'autre par le fait que le volontaire agit à titre gracieux et peut percevoir une rémunération, tandis que le bénévole offre ses services sans rémunération monétaire.

Comment est perçu le bénévolat par les populations ?
En milieu rural, le bénévolat semble être mieux accueilli, malgré quelques problèmes. Les populations sont faciles à regrouper parce que sensibles aux de développement de leur milieu. C'est pourquoi les acteurs, les projets et organisations de développement sont accueillis avec ferveur et empressement. Aux premières réunions d'information, tout le village est mobilisé: hommes, femmes, vieillards, jeunes, élèves, enfants, abandonnent leurs occupations pour venir écouter le message qu'on leur a apporté.
Généralement, le préalable à l'installation des projets sont vite réunis: comité de gestion, activités sociocommunautaires rapidement conçues et cotisations promptement payées… Cependant, dans la grande majorité des cas, on commence à déchanter quelques, jours, semaines, mois, après : les cotisations cessent, de renter, la participation aux activités communautaires susceptibles de générer des fonds pour assurer le fonctionnement du projet baisse. Le volontariat et le bénévolat qui avaient toutes les chances de réussir s'estompent.

Pourquoi le volontariat et le bénévolat collectifs qui avaient toutes les chances de réussir s'estompent ?
Les raison sont divers et ne dépendent pas toujours de la population.
1. L'information doit être précise L'initiation ou l'introduction d'un projet dans une communauté est souvent l'initiative de quelques personnes qui jouent le rôle d'animateurs et qui en deviennent les responsables. Au départ, pour obtenir l'adhésion de la masse, les pionniers du projet font croire à la population au cours des séances de sensibilisation que leur action est serait une participation financière. En effet, c'est le cas un projet est financé en partie par une organisation et d'autre part avec l'apport participatif des communautés bénéficiaires en espèces et en matériaux locaux ( cotisation pour soutenir et encourager le projet, sable, gravier, eau, main d'œuvre non qualifié ou qualifié…) L'adhésion massive et la mobilisation générale des populations se font au prix de cette condition. Mais lorsque quelques mois plus tard, les populations se rendent à l'évidence que seuls les revenus des actions communautaires et bénévoles permettrons de résoudre les problèmes du village, elles estiment avoir été dupées et leur enthousiasme s'en ressent. Il ressort ce constat que si l'action d'information et de diffusion avait été menée par des agents compétents et de manières franches, les populations auraient mieux saisi la nécessité du bénévolat.
2. Les problèmes de gestion
L'échec de la plupart des projets locaux provient entre autres de la mauvaise organisation des activités, de la manière dont certaines décisions sont prises et enfin de la mauvaise gestion des fonds. Généralement, les structures ne fonctionnent pas de façon démocratique. Les animateurs ont tendance à penser et à décider à la place de la population sans se référer à son avis. Or il est évident que pour qu'une population s'intéresse à une activité, il faut nécessairement:
• L'associer intimement à l'identification des besoins et à la détermination des priorités, à la recherche des solutions et à la prise des décisions ;
• L'associer à déterminer, repartir et assurer jusqu'au bout ses responsabilités ; • L'associer à l'exécution et à la réalisation des projets socio-économiques ;
• L'amener à choisir en toute démocratie ses représentants ;
• Et enfin, lui rendre compte des activités menées et recueillir son avis.

En effet, tenue à l'écart dans les prises de décisions, la population ne se sent pas partie prenante de leur exécution. Aussi son désintéressement vis-à-vis du projet auquel elle avait donné son adhésion, favorise-t-il le cumul des fonctions au niveau de certains responsables qui n'hésitent pas à abuser de la confiance placée en eux. L'abus se rencontre surtout au niveau de la gestion financière, soit par manque de formation, soit par souci de profiter de l'espoir bénévole des autres pour s'octroyer des profits personnels. Au vu d'en telle discordance entre le principe et la réalité, les populations finissent par ne plus croire au bien-fondé du bénévolat et désertent les projets et actions de développement communautaires.
Parmi ceux qui restent, il faut distinguer les membres de la population inactifs de part leur âge mais qui de temps en temps, continuent à soutenir moralement et financièrement l'action.
Dans tous les cas, le temps consacré aux activités des projets par les volontaires et parfois bénévoles, est nettement insuffisant pour couvrir les besoins de plus en plus croissants des projet de développement. D'ou la nécessité de recourir aux professionnels compétents employés à temps plein et rétribués par le projet.
Généralement le gros du travail repose sur ces professionnels, car ce que le volontaire (bénévole) n'a pas pu faire, doit être fait par eux. Ils sont toujours au service du projet et de la population qu'ils servent. Et pourtant ont ne leur accorde ni la qualité de volontaire, ni celle de bénévole par le seul fait que leur salaire provient du projet.

Comment restaurer le bénévolat ?
Les mesures à prendre s'orientent en trois directions:
• L'information ;
• La sensibilisation de la jeunesse ;
• La formation des responsables locaux des comités de gestion ;
• La formation des cadres des communautés. Pour rendre ses activités plus performantes, les acteurs de développements, organisations, associations, doivent chercher des procédures pour la formation de leurs membres et cadres (présidents, secrétaires, gestionnaires, trésoriers,…).
Conclusion
Cependant, le bénévolat ne doit pas être réservé à une catégorie de personnes. Il est à la portée de tous, jeunes, adultes, cadres, salariés, artisans, chômeurs, membres des toutes associations, sont invités à la pratique du bénévolat. Aussi chacun de nous est-il invité à accepter librement de mettre une part de ces capacités financières, physiques, morales, et intellectuelles au service de l'homme pour soulager ou alléger les souffrances en vue d'un monde plus humain, plus juste et pour une paix profonde, durable et universelle.

                                                                                                       D'une intervention de Mr N.K Dieudonné

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SAUVONS NOTRE ENVIRONNEMENT, René Durocher

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Grande Rivière Du Nord, Nord, Haiti
Je suis Thezine Lude Jéphara, étudiante en psychologie a l’UNDH. Je crois en un avenir meilleur pour le pays et je suis prête à lutter pour le rendre possible. C’est cette croyance qui me pousse à créer ce blog juste pour inviter à se joindre à moi.

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